21 octobre 2024

PARTAGE 197 - PRIERE D'AUTOMNE ET DE TOUSSAINT

 Prière d’automne et de Toussaint

Seigneur,

 

J’aime prier avec ce que l’automne donne à voir.

Ce qui a porté du fruit change d’aspect,
Comme si la récolte reçue avait transformé l’élément
qui avait su « donner ».

 

Dans la nature, la transformation se traduit par des couleurs
inimitables dans leurs variétés, leurs nuances. Nous admirons.
Nous savons aussi qu’elles annoncent une sorte de mort,
où se prépare à nouveau la Vie.

 

Ne serait-ce pas là une image de ce qui se produit pour notre humanité ?
La fin de vie pour l’homme, la femme, l’enfant même,
peut coïncider avec des moments intenses d’échange,
de relations, de pardon
qui sont comme des bouquets de fleurs aux riches couleurs.

 

Dans les cimetières, l’abondance et la variété des fleurs apportées
peuvent nous aider
à nous souvenir des fruits portés par chaque vie,
et à laisser grandir en nous, l’ESPÉRANCE d’une VIE NOUVELLE.

 

Seigneur, apprends-nous à nous laisser habiter par Ta Lumière.

 

Sœur du Christ Rédempteur

 

20 octobre 2024

PRIERE POUR LA SEMAINE MISSINNAIRE MONDIALE 2024


Prière :

Père très bon, Tu nous as donné ton fils Jésus 
qui a offert sa vie par amour pour l’humanité, pour les hommes et femmes d’hier et d’aujourd’hui. 

Nous sommes sauvés, pardonnés, invités au banquet à chaque Eucharistie, au banquet éternel.

À la suite de la Vierge Marie, que notre oui soit oui. 

Donne-nous de nous rappeler que le jour de notre baptême, nous avons revêtu le Christ, le plus beau vêtement pour participer au repas des noces.

En cette année de prière voulue par le Saint-Père, que nos rendez-vous avec Toi dans la prière et dans tes sacrements soient la respiration de notre âme et la source d’un élan missionnaire inlassable.

Garde-nous fidèles afin que nos frères et sœurs qui ne te connaissent pas encore puissent dire « Voyez comme ils s’aiment » et deviennent eux aussi des disciples missionnaires jusqu’aux extrémités de la terre.

18 octobre 2024

SEMAINE MISSIONNAIRE

 


Message du Pape pour la Semaine Missionnaire Mondiale 2024




Cette année, la Semaine Missionnaire Mondiale pour la Mission aura lieu du dimanche 13 octobre au dimanche 20 octobre 2024, jour de la quête mondiale. 

Le Pape a choisi pour thème :

Allez et invitez tout le monde à la noce (cf. Mt 22, 9)

Chers frères et sœurs !

Pour la Journée Mondiale des Missions de cette année, j’ai choisi comme thème la parabole évangélique des noces (cf. Mt 22, 1-14). Après que les invités ont refusé l’invitation, le roi, protagoniste du récit, dit à ses serviteurs : « Allez donc aux croisées des chemins : tous ceux que vous trouverez, invitez-les à la noce » (v. 9). 
En réfléchissant sur ce mot clé, dans le contexte de la parabole et de la vie de Jésus, nous pouvons mettre en évidence certains aspects importants de l’évangélisation. Ils sont particulièrement actuels pour nous, disciples-missionnaires du Christ, dans cette phase finale du parcours synodal qui, conformément à la devise “Communion, participation, mission”, devra relancer l’Église dans son engagement prioritaire : l’annonce de l’Évangile dans le monde contemporain.

1. “Allez et invitez”. La mission comme le fait d’aller et d’inviter inlassablement à la fête du Seigneur

Au début du commandement du roi à ses serviteurs, il y a les deux verbes qui expriment le cœur de la mission : “allez” et “appelez” dans le sens d’“invitez”.

Concernant le premier verbe, il faut rappeler que les serviteurs avaient déjà été envoyés auparavant pour transmettre le message du roi aux invités (cf. vv. 3-4). Cela nous fait comprendre que la mission est une sortie inlassable vers toute l’humanité pour l’inviter à la rencontre et à la communion avec Dieu. Inlassable ! Dieu, grand en amour et riche en miséricorde, est toujours en sortie vers tout homme pour l’appeler au bonheur de son Royaume, malgré l’indifférence ou le refus. De la même façon, Jésus-Christ, le bon pasteur et l’envoyé du Père, allait à la recherche des brebis perdues du peuple d’Israël et voulait aller plus loin pour rejoindre les brebis les plus éloignées (cf. Jn 10, 16). Il dit aux disciples “Allez !”, aussi bien avant qu’après sa résurrection, les impliquant dans sa mission (cf. Lc 10, 3 ; Mc 16, 15). C’est pourquoi l’Église continuera à se rendre au-delà de toutes frontières, à sortir sans cesse, sans se fatiguer ni se décourager face aux difficultés et aux obstacles, pour accomplir fidèlement la mission reçue du Seigneur.

Je saisis cette occasion pour remercier les missionnaires, hommes et femmes, qui, répondant à l’appel du Christ, ont tout quitté pour partir loin de leur patrie et apporter la Bonne Nouvelle là où les gens ne l’ont pas encore reçue ou ne l’ont accueillie que récemment. Chers amis, votre généreux dévouement est une expression tangible de l’engagement pour la mission ad gentes que Jésus a confiée à ses disciples : « Allez ! De toutes les nations faites des disciples » (Mt 28, 19). Continuons donc à prier et à remercier Dieu pour les nouvelles et nombreuses vocations missionnaires, pour l’œuvre d’évangélisation qui se poursuit jusqu’aux extrémités de la terre.

Et n’oublions pas que chaque chrétien est appelé à prendre part à cette mission universelle par son propre témoignage évangélique dans tous les milieux, afin que l’Église tout entière ne cesse de sortir avec son Seigneur et Maître vers les “carrefours des routes” du monde d’aujourd’hui. Oui, « aujourd’hui, le drame de l’Église est que Jésus continue à frapper à la porte, mais de l’intérieur, pour que nous le laissions sortir ! Très souvent, on finit par être une Église […] qui ne laisse pas le Seigneur sortir, qui le tient comme sa “chose propre” alors qu’Il est venu pour la mission et nous veut missionnaires » (Discours aux participants au Congrès organisé par le Dicastère pour les laïcs, la famille et la vie, 18 février 2023). Nous tous, baptisés, disposons-nous à partir de nouveau, chacun selon sa condition de vie, pour lancer un nouveau mouvement missionnaire, comme à l’aube du christianisme !

Revenant au commandement du roi aux serviteurs de la parabole, aller va de pair avec appeler ou, plus précisément, inviter : « Venez à la noce ». (Mt 22, 4). Cela laisse percevoir un autre aspect de la mission confiée par Dieu, non moins important. Comme on peut l’imaginer, ces serviteurs-messagers transmettaient l’invitation du souverain avec urgence mais aussi avec grand respect et gentillesse. La mission de porter l’Évangile à toute créature doit nécessairement prendre le style même de Celui qui est annoncé. Les disciples-missionnaires proclament au monde « la beauté de l’amour salvifique de Dieu manifesté en Jésus Christ mort et ressuscité » (Exhort. ap. Evangelii gaudium, n. 36), avec joie, magnanimité et bienveillance, fruits de l’Esprit Saint en eux (cf. Ga 5, 22) ; sans obligation, contrainte, prosélytisme; toujours avec la proximité, la compassion et la tendresse qui reflètent la manière d’être et d’agir de Dieu.


2. Au banquet. La perspective eschatologique et eucharistique de la mission du Christ et de l’Église

Dans la parabole, le roi demande aux serviteurs de porter l’invitation au banquet pour les noces de son fils. Ce banquet représente le banquet eschatologique. Il est une image du salut définitif dans le Royaume de Dieu, réalisé dès maintenant par la venue de Jésus, le Messie, le Fils de Dieu qui nous a donné la vie en abondance (cf. Jn 10, 10). Celle-ci est symbolisée par la table dressée avec « des viandes succulentes et des vins décantés », lorsque Dieu « fera disparaître la mort pour toujours » (cf. Is 25, 6-8).

La mission du Christ se situe à la plénitude des temps, comme Il l’a déclaré au début de sa prédication : « Les temps sont accomplis : le règne de Dieu est tout proche » (Mc 1, 15). Ainsi, les disciples du Christ sont appelés à poursuivre la mission de leur Maître et Seigneur. Rappelons l’enseignement du Concile Vatican II sur le caractère eschatologique de l’engagement missionnaire de l’Église : « Le temps de l’activité missionnaire se situe entre le premier avènement du Seigneur et le second […]. Car avant la venue du Seigneur, il faut que l’Évangile soit proclamé parmi toutes les nations » (Decr. Ad gentes, n. 9).

Nous savons que le zèle missionnaire des premiers chrétiens avait une forte dimension eschatologique. Ils ressentaient l’urgence de proclamer l’Évangile. Aujourd’hui encore, il est important de garder à l’esprit cette perspective, car elle nous aide à évangéliser dans la joie de celui qui sait que « le Seigneur est proche », et dans l’espérance de celui qui est tendu vers le but, lorsque nous serons tous avec le Christ à ses noces dans le royaume de Dieu. Alors que le monde propose les “banquets” variés de la consommation, du bien-être égoïste, de l’accumulation, de l’individualisme, l’Évangile appelle chacun au banquet divin où règnent la joie, le partage, la justice, la fraternité, dans la communion avec Dieu et avec les autres.

Cette plénitude de vie, don du Christ, est anticipée dans le banquet de l’Eucharistie que l’Église célèbre à la demande du Seigneur, en mémoire de Lui. Ainsi, l’invitation au banquet eschatologique que nous apportons à chacun dans la mission évangélisatrice est intrinsèquement liée à l’invitation à la table eucharistique où le Seigneur nous nourrit de sa Parole, de son Corps et de son Sang. Comme l’a enseigné Benoît XVI, « en toute célébration eucharistique se réalise sacramentellement le rassemblement eschatologique du Peuple de Dieu. Le banquet eucharistique est pour nous une réelle anticipation au banquet final, annoncé par les prophètes (cf. Is 25, 6-9) et décrit dans le Nouveau Testament comme “les noces de l’Agneau” (Ap 19, 7-9) qui doivent être célébrées dans la joie de la communion des saints » (Exhort. ap. post-synodale Sacramentum Caritatis, n. 31).

Par conséquent, nous sommes tous appelés à vivre plus intensément chaque Eucharistie dans toutes ses dimensions, en particulier dans ses dimensions eschatologique et missionnaire. Je répète à ce propos que « nous ne pouvons pas nous approcher de la Table eucharistique sans nous laisser entraîner dans le mouvement de la mission qui, prenant naissance dans le Cœur même de Dieu, veut rejoindre tous les hommes » (ibid., n. 84). Le renouveau eucharistique, que de nombreuses Églises locales encouragent de manière louable dans la période post-Covid, sera fondamental pour réveiller l’esprit missionnaire en chaque fidèle. Avec combien plus de foi et d’élan du cœur, dans chaque Messe, devrions-nous prononcer l’acclamation : « Nous annonçons ta mort, Seigneur Jésus, nous proclamons ta résurrection, nous attendons ta venue dans la gloire » !

Dans cette perspective, en cette année consacrée à la prière pour la préparation du Jubilé de 2025, je voudrais inviter chacun à intensifier, aussi et surtout, la participation à la Messe et la prière pour la mission évangélisatrice de l’Église. Celle-ci, obéissant à la parole du Sauveur, ne cesse d’élever vers Dieu, dans chaque célébration eucharistique et liturgique, la prière du Notre Père avec l’invocation « Que ton règne vienne ». Ainsi, la prière quotidienne, et en particulier l’Eucharistie, fait de nous des pèlerins-missionnaires de l’espérance, en marche vers la vie sans fin en Dieu, vers le banquet nuptial préparé par Dieu pour tous ses enfants.

3. “Tous”. La mission universelle des disciples du Christ et l’Église tout entière synodale-missionnaire

La troisième et dernière réflexion concerne les destinataires de l’invitation du roi : « Tous ». Comme je l’ai souligné, « ce “tous” est au cœur de la mission. N’exclure personne. Tous. Chacune de nos missions naît du Cœur du Christ pour attirer tout le monde à lui » (Discours aux participants à l’Assemblée générale des Œuvres Pontificales Missionnaires, 3 juin 2023). Aujourd’hui encore, dans un monde déchiré par les divisions et les conflits, l’Évangile du Christ est la voix, douce et forte, qui appelle les hommes à se rencontrer, à se reconnaître frères et à se réjouir de l’harmonie dans la diversité. Dieu veut que « tous les hommes soient sauvés et parviennent à la pleine connaissance de la vérité » (1 Tm 2, 4). N’oublions donc jamais, dans nos activités missionnaires, que nous sommes envoyés pour annoncer l’Évangile à tous, « non pas comme quelqu’un qui impose un nouveau devoir, mais bien comme quelqu’un qui partage une joie, qui indique un bel horizon, qui offre un banquet désirable » (Exhort. ap. Evangelii gaudium, n. 14).

Les disciples-missionnaires du Christ ont toujours à cœur le souci de toutes les personnes, quelle que soit leur condition sociale ou même morale. La parabole du banquet nous dit qu’à la demande du roi les serviteurs rassemblèrent « tous ceux qu’ils trouvèrent, les mauvais comme les bons » (Mt 22, 10). Et plus précisément « les pauvres, les estropiés, les aveugles et les boiteux » (Lc 14, 21), ce qui veut dire que les derniers et les exclus de la société sont les invités privilégiés du roi. Le banquet nuptial de son Fils, que Dieu a préparé, reste pour toujours ouvert à tous, parce que son amour pour chacun est grand et inconditionnel. « Car Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais obtienne la vie éternelle » (Jn 3, 16). Quiconque, tout homme et toute femme, est destinataire de l’invitation de Dieu à participer à sa grâce qui transforme et sauve. Il suffit de dire “oui” à ce don divin gratuit, en l’accueillant et en se laissant transformer par lui, s’en revêtant comme d’un “vêtement de noces” (cf. Mt 22, 12).

La mission pour tous requiert l’engagement de chacun. Il est donc nécessaire de poursuivre le chemin vers une Église tout entière synodale-missionnaire au service de l’Évangile. La synodalité est en soi missionnaire, et vice versa, la mission est toujours synodale. C’est pourquoi une étroite coopération missionnaire apparaît, aujourd’hui encore, urgente et nécessaire dans l’Église universelle comme dans les Églises particulières. Dans le sillage du Concile Vatican II et de mes prédécesseurs, je recommande à tous les diocèses du monde le service des Œuvres Pontificales Missionnaires qui constituent les principaux moyens « pour pénétrer les catholiques, dès leur enfance, d’un esprit vraiment universel et missionnaire, et pour provoquer une collecte efficace de fonds au profit de toutes les missions, selon les besoins de chacune » (Décr. Ad gentes, n. 38). C’est pourquoi les collectes de la Journée Mondiale des Missions dans toutes les Églises locales sont entièrement destinées au Fonds de solidarité universelle, que l’Œuvre Pontificale de la Propagation de la Foi distribue ensuite, au nom du Pape, pour les besoins de toutes les missions de l’Église. Prions le Seigneur de nous guider et de nous aider à être une Église plus synodale et plus missionnaire (cf. Homélie de la Messe de clôture de l’Assemblée générale ordinaire du Synode des Évêques, 29 octobre 2023).

Tournons enfin notre regard vers Marie qui a obtenu le premier miracle de Jésus, précisément lors de noces, à Cana en Galilée (cf. Jn 2, 1-12). Le Seigneur offrit aux époux et à tous les invités le vin nouveau en abondance, signe anticipé du banquet nuptial que Dieu prépare pour tous à la fin des temps. Demandons, aujourd’hui encore, son intercession maternelle pour la mission évangélisatrice des disciples du Christ. Avec la joie et l’attention de notre Mère, avec la force de la tendresse et de l’affection (cf. Evangelii gaudium, n. 288), allons porter à tous l’invitation du Roi Sauveur. Sainte Marie, Étoile de l’évangélisation, priez pour nous !

Rome, Saint-Jean-de-Latran, 25 janvier 2024, fête de la Conversion de Saint Paul.

FRANÇOIS

17 octobre 2024

JOURNEE MONDIALE DU REFUS DE LA MISERE

17 octobre 2024

Journée mondiale du refus de la misère





Tous les renseignements en cliquant sur ce lien :

https://www.atd-quartmonde.fr/journee-mondiale-du-refus-de-la-misere/

06 octobre 2024

INFO MESSES - OCTOBRE 2024

 OCTOBRE 2024

27e dimanche ordinaire
Dimanche 6 octobre - messe à 11h00

EGLISE SAINT NICOLAS DE CHAUVRY

FÊTE DES RECOLTES ET DE LA CREATION

Apéritif offert après la messe
animations et "Marché fermier" dans la cour de la ferme
un covoiturage sera organisé


Attention : pas de messe à Bouffémont 
ni le samedi soir ni le dimanche


28e dimanche ordinaire 
Samedi 12 octobre messe à 18h église Saint-Georges de Bouffémont 
Dimanche 13 octobre  messe à 11h église Saint-Georges de Bouffémont
Messe des familles 

29e dimanche ordinaire 
Samedi 19 octobre messe à 18h église Saint-Georges de Bouffémont 
Dimanche 20 octobre  messe à 11h église Saint-Nicolas de Chauvry
Dimanche des missions 

30e dimanche ordinaire 
Samedi 26 octobre messe à 18h église ND de Pitié de Béthemont 
Dimanche 27 octobre  messe à 11h église Saint-Georges de Bouffémont



TOUSSAINT

 
Vendredi 1er novembre  messe à 11h église Saint-Georges de Bouffémont

Samedi 2 novembre : Bénédictions de tombes :
 
15h à Béthemont, 16 h à Chauvry, 17h à Bouffémont

31e dimanche ordinaire 
Samedi 2 novembre messe à 18h église Saint-Georges de Bouffémont 
Dimanche 3 novembre messe à 11h église Saint-Georges de Bouffémont 
Messe pour les Défunts 

03 octobre 2024

PARTAGE 197 - LES JEUX OLYMPIQUES

 

LA JOIE FRATERNELLE DES JEUX OLYMPIQUES

 


« Les Jeux ont permis de montrer que l’homme a une dimension faite pour la joie et la paix. » Cette phrase de Mgr Marsset, évêque auxiliaire de Paris, résume à elle seule le sentiment partagé par une grande majorité d’entre nous.

Après une période politique délicate où certains décrivaient la France comme un pays rongé par le doute, incapable de projets communs et rejetant le « vivre ensemble », une immense fierté s’est emparée du cœur de beaucoup de Français.

Fierté de la capacité qu’a eue la France d’accueillir le monde entier sans accroc, en sécurité, avec beaucoup de gentillesse et de bonne humeur comme en ont témoigné beaucoup d’étrangers.

Fierté de l’audace et de la créativité des organisateurs montrant une belle image  positive de la France.

Fierté d’avoir mis tellement en valeur le patrimoine religieux et culturel de notre capitale en appui à beaucoup d’épreuves.

Fierté sportive aussi de partager le soutien de nos athlètes issus de la diversité propre à notre pays. Et quelle ambiance dans les sites olympiques ! Quelle joie communicative d’applaudir, de crier, de chanter, de pleurer, de vivre tant d’émotions ensemble. Même chez soi, devant le petit écran, il a été merveilleux de pouvoir  communier en famille avec nos enfants ou petits-enfants devant les exploits de nos athlètes préférés.

Bien sûr, pendant deux semaines, on parlait moins de l’Ukraine, de Gaza ou de la dissolution de l’Assemblée nationale. Nous étions tous sur un même projet, dans ce magnifique cadre parisien.

Souhaitons que cette parenthèse laisse des traces dans notre pays et en chacun de nous car elle a montré que nous pouvions être heureux, généreux  et fiers.

Souhaitons que cette joie d’être ensemble demeure au plus profond de nos cœurs pour imaginer un monde plus juste, plus fraternel  où chacun aurait sa place avec ses différences et ses richesses.

Michaël Lemogne



 

30 septembre 2024

PARTAGE 197 - BILLET BIBLIQUE

 Septembre 2024

« Appelant de nouveau la foule, il lui disait : « Écoutez-moi tous, et comprenez bien. Rien de ce qui est extérieur à l’homme et qui entre en lui ne peut le rendre impur. Mais ce qui sort de l’homme, voilà ce qui rend l’homme impur. » Marc 7, 14-15

Le changement fait peur !

Avec l’Évangile de saint Marc au chapitre 7, nous sommes interpelés sur nos pratiques et sur nos attachements, par rapport à notre liberté. Naturellement, nous sommes attachés à des habitudes qui nous formatent et qui nous empêchent d’accueillir le changement. Laissons-nous travailler par la Parole de Dieu, pour ré accueillir notre liberté. « Ce qui sort de l’homme, voilà ce qui rend l’homme impur. (…) C’est du dedans, du cœur de l’homme, que sortent les pensées perverses. (…) Tout ce mal vient du dedans, et rend l’homme impur. » Quelles sont les pensées qui m’habitent face aux changements? Ce sont elles qui me rendent pur ou impur, qui me rendent libre ou esclave. Une maxime de Bouddha exprime bien cette réalité : « Le changement n’est jamais douloureux : seule la résistance au changement est douloureuse ». Le changement fait peur, alors qu’il invite à rester libre, libre de tout enchaînement. Laissons-nous visiter par le changement. Comme les disciples restons libres. Pour conclure, je terminerai par cette maxime d’Alvin Toffler : « Le changement n’est pas nécessaire à la vie, il est la vie »

« N’ayez pas peur ! » nous dit le Christ (Jean 6, 20). Il est venu nous libérer de toutes nos peurs même de celle de la mort. Gardons confiance, Il est avec nous.

 P. Charles ROBOAM+


Texte complet en cliquant ➤ ICI


24 septembre 2024

PRESENTATIONS

 

LE PÈRE CHARLES ROBOAM EST NOTRE NOUVEAU CURé

La messe d’installation de notre nouveau curé, le père Charles Roboam, aura lieu le dimanche 29 septembre à 11h00 dans l’église de Bouffémont.

 


 La chenille et le papillon

Pour me présenter en quelques lignes à vous, habitants de Bouffémont, Béthemont et Chauvry, je reprends cet article que j’avais adressé au service communication du diocèse de Pontoise pour mon ordination presbytérale en 2012 :

« Natif de l’Ile Papillon, je quitte la Guadeloupe à l’âge de deux ans avec ma mère pour venir vivre dans les années 1970 en métropole. Après la naissance de ma sœur, je vais vivre de longues années en famille d’accueil avec elle. Pour retrouver notre mère, nous quittons notre campagne dorée près de Vézelay pour la grisaille et le béton parisiens. Avec les années de séparation, il faut apprendre avec difficulté à nous retrouver en famille. Toutes ces séparations m’ont peut-être préparé à tout quitter pour accueillir les imprévus de l’histoire. A l’âge de 37 ans, après avoir connu la vie de couple et exercé avec passion le métier de géomètre, j’accueille contre toute attente l’histoire de ma vocation. C’est auprès des Sœurs de Mère Térésa, dans le service des pauvres à Paris, en Bosnie et en Inde que j’accueille progressivement l’appel de Dieu dans ma vie. Sa présence ne cesse de grandir en se révélant au cœur de mes fragilités. Apprendre à être signe de sa miséricorde infinie me permet d’avancer dans la confiance et dans le service de mes frères. Après mon année en Inde, j’entre en propédeutique à Paris pour discerner ma vocation et recevoir, à l’issue de cette année, le sacrement de la confirmation à l’âge de 37 ans. En 2006, j’entre au séminaire d’Issy-les-Moulineaux pour être ordonné prêtre pour le diocèse de Pontoise le 24 juin 2012 ». Après Argenteuil, Herblay et Montsoult, c’est en me confiant à vos prières que j’arrive parmi vous à la suite du Père Henri de La Salle qui vous a accompagné ces dernières années. Tout en restant curé de la paroisse de Montsoult, les cinq clochers et chapelain de Notre-Dame de France, j’aurai la joie d’être épaulé dans cette nouvelle mission par le Père Michel Etienne, ancien curé de Gonesse. « Le bout du monde et le fond du jardin contiennent la même quantité de merveilles ». Souvent, nous allons chercher loin de nous ce qui est à côté de nous, ce qui est en nous. La vie est un cadeau que nous devons constamment apprendre à recevoir. Cette affirmation est une invitation à trouver ce qui est essentiel dans les autres et en nous-mêmes. Depuis mon ordination, c’est cette quête de l’intériorité qui me guide. C’est dans cet esprit que j’aurai la joie de vous rencontrer, croyants ou non croyants, pour continuer d’espérer en notre humanité. Que Dieu nous accompagne dans toutes nos rencontres.






Fr. Charles Roboam +




 

Bonjour au père Michel Etienne


C'est avec joie que j'arrive à Bouffémont comme prêtre résident. Je viens d'avoir 75 ans et j'ai demandé à notre évêque de pouvoir exercer mon ministère sans charge pastorale.

En juin 2025 je fêterai  mes 50 ans de ministère presbytéral dans différentes paroisses : au Val Fourré à Mantes-la-Jolie, à Saint-Martin de Sartrouville, aux Mureaux, à Goussainville, à Argenteuil puis Gonesse et en même temps au service des mouvements d'action catholique .en monde ouvrier et milieux populaires et de la mission ouvrière..

Une de mes plus grandes joies, durant toutes ces années, a été d'être émerveillé de voir ce que "produit"  la rencontre du Christ Jésus dans la vie d'enfants, de jeunes, d’adultes, comment ils grandissent en humanité et comme témoins de la joie de croire au cœur de leur vie.

Une autre attention m'a toujours habité: que l'Église soit en sortie comme dit le pape François et que chacun puisse y  trouver sa place.

Une dernière chose : j'aime beaucoup la randonnée et la photo…    

Dans l'attente de mieux se connaître          Père Michel Etienne.



Au revoir Père Henri

Notre ancien curé, le père Henri De la Salle, est nommé curé de la Paroisse Saint-Pierre Saint-Paul de Gonesse.




Il y a, c’est certain, beaucoup à remercier du père Henri de la Salle. Son temps donné avec générosité, son écoute et ses accompagnements qui ont permis d’appréhender de nouvelles missions n’en sont que des exemples. Ses homélies et échanges amenant à réfléchir, sur notre place dans le monde en sont la ponctuation de ces années partagées dans nos 3 villages.

Pour aller plus loin, le père Henri de La Salle est arrivé dans notre paroisse en 2019 comme 1er curé depuis près de 40 ans. Jusque-là les laïcs de notre paroisse étaient coresponsables avec un prêtre modérateur. Un grand merci à Henri pour avoir su exercer son rôle avec beaucoup d'écoute et de modestie et nous avoir aidés à vivre ce changement.

Merci à lui d'avoir été vraiment présent pour nous accompagner très simplement dans les différents services de la paroisse. Beaucoup de fidèles ont apprécié ses homélies et ses partages de la Parole de Dieu, souvent originaux, très ancrés dans la vie et qui nous aidaient à avancer. Avec lui nous avons traversé la période Covid et c'était un formidable soutien de l'entendre commenter la Parole de Dieu ou vivre les eucharisties sur Facebook.

Il a accepté une nouvelle mission en devenant curé de la paroisse Saint-Pierre et Saint-Paul de Gonesse… Nos prières et nos remerciements l'accompagnent avec toute notre gratitude.

 

 

18 septembre 2024



L’ÉVEIL A LA FOI : UNE BELLE ÉCOLE DE LA VIE


En tant que chrétienne et mamie, il est important pour moi de transmettre l'Amour de Jésus aux enfants et cela dès le plus jeune âge (de 3 ans à 7ans).


Lors de nos rencontres à l'église de Bouffémont, environ une fois par mois le samedi de 16h30 à 17h30, nous vivons un moment de Paix, de Partage, d'Écoute, de Respect les uns envers les autres .

J'essaie de faire connaitre Dieu aux enfants à travers Jésus et de les faire devenir amis de Jésus.

Je voudrais leur permettre de trouver Dieu en toute création et en tout moment ; dans la nature, dans les instants de joie, de tristesse, dans leur famille, à l'école, avec les amis, seul ou aussi avec ceux que l'on n'aime pas trop...

Chacun est unique et important pour Dieu, il ne nous abandonne jamais, mais il faut penser à lui, l'écouter et lui parler.

Lors de nos rencontres, nous bricolons, nous discutons, nous chantons, nous lisons un passage de la Bible dans la convivialité.

Les parents sont les bienvenus et peuvent bien sûr rester. Tout enfant est accueilli qu'il soit baptisé ou non .

La prochaine rencontre aura lieu le 28 septembre 

dates suivantes : 12 octobre/ 16 novembre/ 7 décembre/11 janvier

N'hésitez pas à venir avec votre enfant à ce moment d' " Éveil à la Foi", même si vous êtes un peu éloigné de l'Église.

Vous pouvez me contacter sur chrdab@live.fr

En espérant vous rencontrer. Christiane Daboudet

 

26 août 2024

INFO MESSES - SEPTEMBRE 2024

 HORAIRES DES MESSES POUR SEPTEMBRE 2024



22e dimanche ordinaire
Dimanche 1er septembre - messe à 11h00 
- église Saint-Georges de Bouffémont


23e dimanche ordinaire
Dimanche 8 septembre - messe à 11h00 
- église Saint-Georges de Bouffémont



Dimanche 8 septembre

 Pèlerinage à Notre-Dame de Pontoise.
Rendez-vous à 17h00 à l'église ND de Pontoise. 




24e dimanche ordinaire
Dimanche 15 septembre - messe à 11h00  
- église Saint-Georges de Bouffémont


Messe d’installation de Mgr Benoît BERTRAND 
 le dimanche 15 septembre 2024 
à 15h au parc de l’Institution Saint-Stanislas à Osny. 
Tout le monde est invité !
Plus d'info en cliquant ➤ ICI


25e dimanche ordinaire
dimanche 22 septembre - messe à 11h00 
- église Saint-Georges de Bouffémont


Installation du Père Henri De La Salle
 
curé de la paroisse Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Gonesse
messe à 11h00 - église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Gonesse

26e dimanche ordinaire
dimanche 29 septembre - messe à 11h00 
- église Saint-Georges de Bouffémont


Installation du Père Charles Roboam 
nouveau curé de Bouffémont 
pendant la messe de 11h00 église de Bouffémont



27e dimanche ordinaire
Dimanche 6 octobre - messe à 11h00

EGLISE SAINT NICOLAS DE CHAUVRY

FÊTE DES RECOLTES ET DE LA CREATION

Apéritif offert après la messe
animations et "Marché fermier" dans la cour de la ferme
un covoiturage sera organisé


Attention : pas de messe à Bouffémont 
ni le samedi soir ni le dimanche 



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Messe tous les mercredis à 18h00
Eglise Saint Georges de Bouffémont
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Toutes les infos sur les horaires des messes sur ➤ messes.info

12 août 2024

15 AOÛT 2024 - ASSOMPTION DE LA VIERGE MARIE

15 août 2024

ASSOMPTION DE LA VIERGE MARIE

Messe à 11h00 église Saint Georges de Bouffémont



Donne la paix à notre terre

Donne la paix à notre terre 
Ô Mère de miséricorde,
nous confions à ton cœur et à ton amour
le peuple entier et l'Église de cette terre.

Garde-nous de toute injustice,
de toute division,
de toute violence et de toute guerre.

Garde-nous de la tentation
et de l'esclavage du péché et du mal.
Sois avec nous!

Aide-nous à vaincre le doute par la foi,
l'égoïsme par le service,
l'orgueil par la mansuétude,
la haine par l'amour.

Aide-nous à vivre l'Évangile
et la folie de la Croix
afin de pouvoir ressusciter avec ton Fils
à la vraie vie, avec le Père,
dans l'unité de l'Esprit Saint.

Ô Mère du Christ,
sois notre réconfort
et donne force à tous ceux qui souffrent :
aux pauvres,
à ceux qui sont seuls,
aux malades,
aux non-aimés, aux abandonnés.
Donne la paix à notre terre divisée;
et à tous, la lumière de l'espérance.


Jean-Paul II