29 février 2024

INFO MESSE - MARS 2024


 MARS 2024





Messe tous les mercredis à 18h00
presbytère de Bouffémont
7 rue de la République
___________________________________________________


3e dimanche de Carême

- messe à 11h00 Dimanche 3 mars - église Saint-Georges de Bouffémont


4e dimanche de Carême 

- messe à 11h00 Dimanche 10 mars - église Saint-Georges de Bouffémont
messe des familles
Verre de l’amitié à la sortie
Prolongé par un "Repas partagé" à la maison paroissiale


5e dimanche de Carême
dimanche du CCFD-Terre Solidaire

- messe à 11h00 Dimanche 17 mars - église Saint-Georges de Bouffémont


Dimanche des Rameaux et de la Passion 

Rameaux 2022 église de Bouffémont

- messe à 18h00 Samedi 23 mars - église Saint Nicolas de Chauvry
messe à 11h00 Dimanche 24 mars - église Saint-Georges de Bouffémont


Semaine Sainte

Messe chrismale, présidée par Mgr Lalanne, mardi 26 mars à 19h - église d’Eaubonne. 

- Cène du Seigneur, jeudi 28 mars à 20h30 - église ND de Pitié de Béthemont

- Chemin de Croix, vendredi 29 mars à 18h - église Saint-Georges de Bouffémont

- Passion et Mort du Seigneur, vendredi 29 mars à 20h30 - église Saint-Georges de Bouffémont 

Veillée Pascale

Veillée Pascale 2022 - église de Bouffémont

- à 21h00 samedi 30 mars - église Saint-Georges de Bouffémont

Jour de Pâques 

- messe à 11h00 dimanche 31 mars - église Saint-Georges de Bouffémont




Toutes les infos sur les horaires des messes sur ➤ messes.info

24 février 2024

2ème DIMANCHE DE CARÊME AVEC LE CCFD-TERRE SOLIDAIRE



2ème DIMANCHE de CARÊME:
25 février 2024

S'OUVRIR A LA VIE POUR CONSTRUIRE LA PAIX



Extrait d’Evangile

« Six jours après, Jésus prend avec lui Pierre, Jacques et Jean, et les emmène, eux seuls, à l’écart sur une haute montagne. Et il fut transfiguré devant eux. Ses vêtements devinrent resplendissants, d’une blancheur telle que personne sur terre ne peut obtenir une blancheur pareille. Élie leur apparut avec Moïse, et tous deux s’entretenaient avec Jésus. Pierre alors prend la parole et dit à Jésus : “Rabbi, il est bon que nous soyons ici ! Dressons donc trois tentes : une pour toi, une pour Moïse, et une pour Élie”. » Mc 9, 2-5

Lecture du jour

• 1re lecture : Gn 22, 1-2.9-13.15-18
• Psaume : 115 (116 B), 10,15, 16ac-17, 18-19
• 2e lecture : Rm 8, 31b-34
• Évangile : Mc 9, 2-10




Éclairage biblique

Les paroles que Dieu a adressées à son peuple au long des siècles ont été inscrites dans la Bible, la Torah. Une nuée recouvre Moïse, Élie, Jésus et ses trois disciples, raconte saint Marc. Cette nuée évoque le contenu du Livre saint, disaient les Pères, nos anciens dans la foi. Tout y est écrit en vue d’être accompli. Le sommet de cet accomplissement est la Croix, la mort du Fils bien-aimé venu pour libérer les hommes de ce qui les empêchait d’accéder à la vie de Dieu. Pierre, dans sa frayeur comme dans son enthousiasme propose à Jésus de monter trois tentes : « Une pour Moïse, une pour Élie et une autre pour Jésus », dit-il. C’est désormais inutile. Il n’y a plus de séparation entre morts et vivants. Un autre espace s’ouvre définitivement, celui du corps du Christ ressuscité rassemblant tous les hommes en lui.

Prière :

Seigneur, ne te lasse pas de nous parler 
pour nous ouvrir à la vie de ton Royaume de paix.

Un partenaire du CCFD-Terre Solidaire :




Le People’s Ressources Centre (PRC) agit dans les grandes villes indiennes pour changer le rapport à la nature et à l’environnement. Il crée des espaces de vie autour de l’agriculture urbaine, des mobilités douces et de la protection des espaces naturels.

Plus d'info ➤ People's Ressources Centre (PRC)

Offrir une prière

Seigneur, nous te confions celles et
ceux qui, avec le PRC, préservent notre
maison commune, pour que les
habitants des plus grandes villes
puissent vivre dignement.





17 février 2024

1er DIMANCHE DE CARÊME AVEC LE CCFD-TERRE SOLIDAIRE

1er DIMANCHE DE CARÊME :
18 février 2024

S'ENGAGER A PLUS DE JUSTICE ET DE SOLBRIETE




Extrait d’Evangile

« Aussitôt l’Esprit pousse Jésus au désert et, dans le désert, il resta quarante jours, tenté par Satan. Il vivait parmi les bêtes sauvages, et les anges le servaient. Après l’arrestation de Jean, Jésus partit pour la Galilée proclamer l’Évangile de Dieu ; il disait : “Les temps sont accomplis : le règne de Dieu est tout proche. 
Convertissez-vous et croyez à l’Évangile”. » Mc 1, 12-15

Lecture du jour

• 1re lecture : Gn 9, 8-15
• Psaume : 24 (25), 4-5ab, 6-7bc, 8-9
• 2e lecture : 1 P 3, 18-22
• Évangile : Mc 1, 12-15



Éclairage biblique


« Le Royaume de Dieu, c’est la Royauté d’Amour de Dieu au plus intime de nous », écrit Maurice Zundel. Les mots de Jésus sont fermes : Dieu a besoin des hommes pour édifier son Royaume, des hommes capables de repentir. L’actualité, les enjeux climatiques, économiques et sociaux tels que les formes de domination hommes-femmes ou les replis identitaires au sein de plus en plus de pays exigent des prises de conscience urgentes de tous, sachant combien « tout est lié » (Cf. la lettre apostolique du pape François « Tous Frères »).
Ne devons-nous pas nous engager sur plus de justice et de sobriété ?

Prière 

Viens Seigneur, ouvrir nos cœurs et nos esprits pour que nous devenions aptes à suivre le Christ, à résister aux tentations contemporaines.

Un partenaire du CCFD-Terre Solidaire :

Le réseau JnT soutient les familles vulnérables au Brésil, en dénonçant les violations des droits humains par certaines grandes entreprises et l’État et en développant l’agroécologie.

plus d'info ➤ https://ccfd-terresolidaire.org/partenaire/justica-nos-trilhos-jnt/



Offrir une prière

Seigneur, nous te confions ces femmes
et ces hommes du réseau JnT
au Brésil qui s’engagent chaque jour
pour un monde plus juste.


16 février 2024

CARÊME 2024 - MESSAGE DU PAPE FRANCOIS

MESSAGE DU PAPE FRANÇOIS POUR LE CARÊME 2024


À travers le désert Dieu nous guide vers la liberté


Chers frères et sœurs !

Lorsque notre Dieu se révèle, il communique la liberté : « Je suis le Seigneur ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la maison d’esclavage » (Ex 20, 2). C’est ainsi que s’ouvre le Décalogue donné à Moïse sur le mont Sinaï. Le peuple sait bien de quel exode Dieu parle : l’expérience de l’esclavage est encore gravée dans sa chair. Il reçoit les dix consignes dans le désert comme un chemin vers la liberté. Nous les appelons « commandements », pour souligner la force de l’amour avec lequel Dieu éduque son peuple. 

Il s’agit en effet d’un appel vigoureux à la liberté. Il ne se réduit pas à un seul événement, car il mûrit au cours d’un cheminement. De même qu’Israël dans le désert conserve encore en lui l’Égypte – en fait, il regrette souvent le passé et murmure contre le ciel et contre Moïse – de la même façon, aujourd’hui, le peuple de Dieu garde en lui des liens contraignants qu’il doit choisir d’abandonner. 

Nous nous en rendons compte lorsque nous manquons d’espérance et que nous errons dans la vie comme sur une lande désolée, sans terre promise vers laquelle tendre ensemble. Le Carême est le temps de la grâce durant lequel le désert redevient – comme l’annonce le prophète Osée – le lieu du premier amour (cf. Os 2, 16-17). Dieu éduque son peuple pour qu’il sorte de l’esclavage et expérimente le passage de la mort à la vie. Comme un époux, il nous ramène à lui et murmure à notre cœur des paroles d’amour.

L’exode de l’esclavage vers la liberté n’est pas un chemin abstrait. Pour que notre Carême soit aussi concret, la première démarche est de vouloir voir la réalité. Lorsque, dans le buisson ardent, le Seigneur attira Moïse et lui parla, il se révéla immédiatement comme un Dieu qui voit et surtout qui écoute : « J’ai vu, oui, j’ai vu la misère de mon peuple qui est en Égypte, et j’ai entendu ses cris sous les coups des surveillants. Oui, je connais ses souffrances. Je suis descendu pour le délivrer de la main des Égyptiens et le faire monter de ce pays vers un beau et vaste pays, vers un pays, ruisselant de lait et de miel » (Ex 3, 7-8). 

Aujourd’hui encore, le cri de tant de frères et sœurs opprimés parvient au ciel. Posons-nous la question : est-ce qu’il nous parvient à nous aussi ? Nous ébranle-t-il ? Nous émeut-il ? De nombreux facteurs nous éloignent les uns des autres, en bafouant la fraternité qui, à l’origine, nous liait les uns aux autres.

Lors de mon voyage à Lampedusa, j’ai opposé à la mondialisation de l’indifférence deux questions de plus en plus actuelles : « Où es-tu ? » (Gn 3, 9) et « Où est ton frère ? » (Gn 4, 9). 

Le parcours de Carême sera concret si, en les écoutant à nouveau, nous reconnaissons que nous sommes encore sous la domination du Pharaon. Une domination qui nous épuise et nous rend insensibles. C’est un modèle de croissance qui nous divise et nous vole l’avenir. La terre, l’air et l’eau en sont pollués, mais les âmes sont elles aussi contaminées. En effet, bien que notre libération ait commencé avec le baptême, il subsiste en nous une inexplicable nostalgie de l’esclavage. C’est comme une attirance vers la sécurité du déjà vu, au détriment de la liberté.

Je voudrais souligner, dans le récit de l’Exode, un détail qui n’est pas sans importance : c’est Dieu qui voit, qui s’émeut et qui libère, ce n’est pas Israël qui le demande. Le Pharaon, en effet, anéantit même les rêves, vole le ciel, fait apparaître comme immuable un monde où la dignité est bafouée et où les relations authentiques sont déniées. En un mot, il réussit à enchaîner à lui-même. Posons-nous la question : est-ce que je désire un monde nouveau ? Suis-je prêt à me libérer des compromis avec l’ancien ? Le témoignage de nombreux frères évêques et d’un grand nombre d’artisans de paix et de justice me convainc de plus en plus à devoir dénoncer un défaut d’espérance. Il s’agit d’un obstacle au rêve, d’un cri muet qui monte jusqu’au ciel et touche le cœur de Dieu et ressemble à ce regret de l’esclavage qui paralyse Israël dans le désert, en l’empêchant d’avancer. L’exode peut prendre fin : autrement, on ne pourrait pas expliquer pourquoi une humanité qui a atteint le seuil de la fraternité universelle et des niveaux de développement scientifique, technique, culturel et juridique capables d’assurer la dignité de tous, tâtonne dans l’obscurité des inégalités et des conflits.

Dieu ne s’est pas lassé de nous. Accueillons le Carême comme le temps fort durant lequel sa Parole s’adresse de nouveau à nous : «  Je suis le Seigneur ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la maison d’esclavage » (Ex 20, 2). C’est un temps de conversion, un temps de liberté. Jésus lui-même, comme nous le rappelons chaque année à l’occasion du premier dimanche de Carême, a été conduit par l’Esprit au désert pour être éprouvé dans sa liberté. Pendant quarante jours, il sera devant nous et avec nous : il est le Fils incarné. Contrairement au Pharaon, Dieu ne veut pas des sujets, mais des fils. Le désert est l’espace dans lequel notre liberté peut mûrir en une décision personnelle de ne pas retomber dans l’esclavage. Pendant le Carême, nous trouvons de nouveaux critères de jugement et une communauté avec laquelle nous engager sur une route que nous n’avons jamais parcourue auparavant.

Cela implique une lutte : le livre de l’Exode et les tentations de Jésus dans le désert nous le disent clairement. À la voix de Dieu, qui dit : « Tu es mon Fils bien-aimé ; en toi, je trouve ma joie » (Mc 1, 11) et « Tu n’auras pas d’autres dieux en face de moi » (Ex 20, 3), s’opposent en effet les mensonges de l’ennemi. Les idoles sont plus redoutables que le Pharaon : nous pourrions les considérer comme sa voix en nous. Pouvoir tout faire, être reconnu par tous, avoir le dessus sur tout le monde : chaque être humain ressent en lui la séduction de ce mensonge. C’est une vieille habitude. Nous pouvons nous accrocher ainsi à l’argent, à certains projets, à des idées, à des objectifs, à notre position, à une tradition, voire à certaines personnes. Au lieu de nous faire avancer, elles nous paralyseront. Au lieu de nous rapprocher, elles nous opposeront. Mais il y a une nouvelle humanité, le peuple des petits et des humbles qui n’a pas succombé à l’attrait du mensonge. Alors que les idoles rendent muets, aveugles, sourds, ou immobiles ceux qui les servent (cf. Ps 114, 4), les pauvres en esprit sont immédiatement ouverts et prêts : une silencieuse force de bien qui guérit et soutient le monde.

Il est temps d’agir, et durant le Carême, agir c’est aussi s’arrêter. S’arrêter en prière, pour accueillir la Parole de Dieu, et s’arrêter comme le Samaritain, en présence du frère blessé. L’amour de Dieu et du prochain est un unique amour. Ne pas avoir d’autres dieux, c’est s’arrêter en présence de Dieu, devant la chair de son prochain. 

C’est pourquoi la prière, l’aumône et le jeûne ne sont pas trois exercices indépendants, mais un seul mouvement d’ouverture, de libération : finies les idoles qui nous alourdissent, finis les attachements qui nous emprisonnent. C’est alors que le cœur atrophié et isolé s’éveillera. Alors, ralentir et s’arrêter. La dimension contemplative de la vie, que le Carême nous fera ainsi redécouvrir, mobilisera de nouvelles énergies. En présence de Dieu, nous devenons des frères et des sœurs, nous percevons les autres avec une intensité nouvelle : au lieu de menaces et d’ennemis, nous trouvons des compagnons et des compagnes de route. C’est le rêve de Dieu, la terre promise vers laquelle nous tendons une fois sortis de l’esclavage.

La forme synodale de l’Église, que nous redécouvrons et cultivons ces dernières années, suggère que le Carême soit aussi un temps de décisions communautaires, de petits et de grands choix à contre-courant, capables de changer la vie quotidienne des personnes et la vie d’un quartier : les habitudes d’achat, le soin de la création, l’inclusion de celui qui n’est pas visible ou de celui qui est méprisé. J’invite chaque communauté chrétienne à faire cela : offrir à ses fidèles des moments pour repenser leur style de vie ; se donner du temps pour vérifier leur présence dans le quartier et leur contribution à le rendre meilleur. Quel malheur si la pénitence chrétienne ressemblait à celle qui attristait Jésus. À nous aussi, il dit : « Et quand vous jeûnez, ne prenez pas un air abattu, comme les hypocrites : ils prennent une mine défaite pour bien montrer aux hommes qu’ils jeûnent » (Mt 6, 16). Au contraire, que l’on voie la joie sur les visages, que l’on sente le parfum de la liberté, qu’on libère cet amour qui fait toutes choses nouvelles, en commençant par les plus petites et les plus proches. Cela peut se produire dans chaque communauté chrétienne.

Dans la mesure où ce Carême sera un Carême de conversion, alors l’humanité égarée éprouvera un sursaut de créativité : l’aube d’une nouvelle espérance. 

Je voudrais vous dire, comme aux jeunes que j’ai rencontrés à Lisbonne l’été dernier : « Cherchez et risquez, cherchez et risquez. À ce tournant de l’histoire, les défis sont énormes, les gémissements douloureux. Nous assistons à une troisième guerre mondiale par morceaux. Prenons le risque de penser que nous ne sommes pas dans une agonie, mais au contraire dans un enfantement ; non pas à la fin, mais au début d’un grand spectacle. Il faut du courage pour penser cela » ( Rencontre avec les jeunes universitaires, 3 août 2023). C’est le courage de la conversion, de la délivrance de l’esclavage. La foi et la charité tiennent la main de cette « petite fille espérance ». Elles lui apprennent à marcher et elle, en même temps, les tire en avant [1].

Je vous bénis tous ainsi que votre cheminement de Carême.

Rome, Saint-Jean-de-Latran, le 3 décembre 2023, 1er dimanche de l’Avent.

FRANÇOIS

[1] Cf. Ch. Péguy, Le porche du mystère de la deuxième vertu, in Œuvres poétiques et dramatiques, Gallimard, Paris, 2014, p. 613.

13 février 2024

CARÊME 2024 A BOUFFEMONT - CHAUVRY - BETHEMONT

 

CARÊME 2024 à Bouffémont + Chauvry +  Béthemont


CARÊME 2024 à Bouffémont + Chauvry +  Béthemont
           11 dates, avec 5 rendez-vous pour tous

1

Chaque lundi

 Lecture partagée de l’Évangile du dimanche suivant,
  20h30-21h30 – par visio (zoom, lien sur le blog de la paroisse le lundi après-midi))

2

Merc. 14 fév.

19h

     Mercredi des cendres
           
- - > apportons nos vieux « rameaux »
Venez… N’hésitez pas à demander pour un covoiturage.
Si c’est pour repartir chez soi, il y aura toujours une place dans une voiture

3

Sam. 24 fév.

   à Béthemont, messe dominicale avancée– 18h00

4

Lundi 26 fév.

 Messe à l’EHPAD, 15h00 – si vous êtes disponible, venez entourer ces voisins que l’âge a mis à l’écart

 

Mardi 27

Messe aux Myosotis.

 

Ven. 8 mars

Nuit d’adoration, à ND de France, 20h30-7h30

5

Sam. 9 mars

   "Eveil à la foi", 16h30-17h30 à l’église de Bouffémont

6

Dim. 10 mars

       «Rendez-vous de Carême en paroisse »

a11h, Messe animée avec les enfants du catéchisme
aEt étape de bapt. des jeunes qui seront baptisés à Pâques
aVerre de l’amitié à la sortie
aProlongé par un "Repas partagé" à la maison paroissiale

7

Ven. 15 mars

19h00

« Voir Mayotte autrement »

(église de Bouffémont)

suivi d'une soirée  bol de riz

en faveur de "Rééducateurs Solidaires "

8

Ven. 22 mars

20h30

       « Veillée de prière en secteur »
                       (église de St Brice – chauffée)

 avec l’offre du sacrement de la réconciliation

 et animée par CANA, l’aumônerie des jeunes du secteur

9

Sam. 23 mars
10h-16h

Journée du Pardon pour les enfants du catéchisme
                 - pour tout le secteur
                 - à la maison des Missionnaires d’Afrique, Mours.

10

Sam. 23 mars

   à Chauvry, messe des Rameaux  – 18h

11

Dim. 24 mars

   Messe des Rameaux  – 11h

Du dim. 24 … au dim. 31,   Semaine sainte…  (horaires prochainement)

 

Et aussi pendant tout le Carême nos efforts de partage:
  • les enveloppes du CCFD pour recueillir nos dons pour soutenir les partenaires du CCFD-Terre Solidaire à travers le monde.
  • des paniers de collecte de denrées alimentaires à destination du Secours populaire de Bouffémont.


10 février 2024

DIMANCHE 11 FEVRIER - DIMANCHE DE LA SANTE

 


DIMANCHE DE LA SANTÉ
ET JOURNÉE MONDIALE DES MALADES














« Les hasards du calendrier nous font célébrer en même temps, ce 11 février, la journée mondiale des malades et la journée nationale du dimanche de la santé. Prendre en compte en même temps les malades et ceux qui les soignent ou se mettent à leur service. Alors que bien souvent on ne pense qu’aux malades… 

Voilà tout l’enjeu de cette journée ! Il nous faut tenir les deux, ensemble… »


Cette année le thème du dimanche de la santé est : 

"De partout un venait à lui" (Mc 1,45)

Prière:

Nous te rendons grâce,
Et nous te bénissons Dieu notre Père
Pour Jésus ton Christ

Il a partagé le tout de nos vies
Avec leur lot de bonheur
Et de réussites, De souffrance ou de peines, 
Avec leurs tourments Et leurs manquements,

Avec leurs doutes

Et leurs emportements.

Par Lui nous te savons
Tout proche de chacun,
A chaque instant.

De partout nous venons à Lui,
De partout Il nous mène à Toi.

Chantal Lavoillotte




MESSAGE DU PAPE FRANÇOIS 
POUR LA XXXIIème JOURNÉE MONDIALE DU MALADE


« Il n’est pas bon que l’homme soit seul ».
Soigner le malade en soignant les relations

Il n’est pas bon que l’homme soit seul » (Gn 2, 18). Dès le début, Dieu, qui est amour, a créé l'être humain pour la communion, en inscrivant dans son être la dimension des relations. Ainsi, notre vie, modelée à l'image de la Trinité, est appelée à se réaliser pleinement dans le dynamisme des relations, de l'amitié et de l'amour réciproque. Nous sommes créés pour être ensemble, et non pour être seuls. Et c'est justement parce que ce projet de communion est inscrit si profondément dans le cœur de l'homme que l'expérience de l'abandon et de la solitude nous effraie et est douloureuse, voire inhumaine. Elle l’est encore plus dans les moments de fragilité, d'incertitude et d'insécurité, souvent provoqués par l'apparition d'une maladie grave.
➤ lire la suite


01 février 2024

INFO MESSE - FEVRIER 2024

 

 FEVRIER 2024





Messe tous les mercredis à 18h00
presbytère de Bouffémont
7 rue de la République
___________________________________________________


5e dimanche du temps ordinaire C

Dimanche 4 février - messe à 11h00 - église Saint-Georges de Bouffémont


6e dimanche du temps ordinaire C

Dimanche 11 février - messe à 11h00  - église Saint-Georges de Bouffémont
 

Mercredi des Cendres 
mercredi 14 février

 - messe à 19h00 - église Saint-Georges de Bouffémont



1er dimanche de Carême

Dimanche 18 février - messe à 11h00 - église Saint-Georges de Bouffémont


2ème dimanche de Carême

 Samedi 24 février - messe à 18h00 - église N.D de Pitié de Béthemont
 Dimanche 25 février - messe à 11h00 - église Saint-Georges de Bouffémont





Toutes les infos sur les horaires des messes sur ➤ messes.info